Les résultats du projet ont été présentés lors du colloque de clôture du projet international APPEAR (J.P. Getty Museum) ayant eu lieu à Amsterdam du 19/10/2022 au 21/10/2022. Ils feront également l’objet de publications scientifiques dans des revues spécialisées.
Les futures présentations muséographiques en salles intègreront une médiation qui présentera notamment les techniques d’imagerie scientifique et les résultats obtenus.
Le noircissement du blanc de plomb et celui du cinabre constituent de grands enjeux actuels de conservation, tant au niveau de leur caractérisation qu’au niveau de leur traitement. Les résultats seront publiés dans des revues académiques spécialisées et présentés dans des congrès internationaux (Lacona XIII, AIC2020).
L’outil expérimental sera aussi présenté à la communauté des restaurateurs. Un prototype pourra être développé et être ainsi à disposition des restaurateurs. Il pourra aussi compléter et trouver sa place dans le panel d’outils de la plateforme Patrimex qui comprend notamment un laser de nettoyage principalement dédié au retrait des croûtes noires.
Les perspectives de valorisation se déclineront autour d’actions pédagogiques et culturelles parmi les différents partenaires. Les conclusions du projet FIGULINES alimenteront notamment le scénario muséographique des futures salles consacrées à Palissy par le musée national de la Renaissance. Elles bénéficieront aussi au Louvre, qui mène une politique active de médiation dans les départements et dans les salles d’interprétation du Pavillon de l’horloge.
La production éventuelle d’un court-métrage de vulgarisation scientifique cherchera à promouvoir la démarche transdisciplinaire à l’œuvre pour authentifier les céramiques rustiques
Ce projet a été valorisé par la publication d’un article de revue internationale (Ultrasonics 2017), deux conférences internationales (AFPAC 2017 et LACONA 2018) et une conférence nationale (CFA 2018).
L’ontologie CMRcr décrit les données et permettre l’amélioration de la collecte et du partage des connaissances acquises dans le cadre de missions d’études et d’analyses des œuvres, ainsi que des processus métiers en temps réel sur le terrain (intervention dans un monument, un site archéologique…).
L’exploitation croisée de ces ressources devrait permettre le développement d’applications innovantes pour la caractérisation et l’identification des œuvres, pour l’étude des données d’analyse d’un même objet avec plusieurs techniques d’observation et instruments scientifiques, mais également pour des dispositifs numériques d’apprentissage et de formation en direction des professionnels et de médiation pour les publics avant, pendant et après une visite dans un musée.
Les outils créés dans le cadre de ce travail de recherche seront directement mis à la disposition de la communauté du patrimoine au travers de son intégration dans l’Equipex Patrimex. Il pourra ainsi être valorisé dans le cadre du futur ERIHS.
D’autre part, la généralisation de la procédure et des méthodes de traitement et de représentation pourra être valorisé par leurs adaptations à d’autres techniques de tomographies de type radar géophysique haute résolution. Extension des domaines d’application en termes de matériaux du patrimoine et des biens culturels. Les résultats obtenus seront mis en lumière tout d’abord au travers de la participation à des congrès nationaux et internationaux. Une formation vers les praticiens de la conservation sera réalisée.
Ce sujet a été présenté à l’oral durant la conférence ICOM-CC Photographic Material Working Group en septembre 2016 à Amsterdam ainsi qu’à la conférence Technart, Non-destructive and microanalytical techniques in art and cultural heritage en mai 2017, à Bilbao.
Nous avons organisé une conférence intitulée « Les négatifs papier français : production, caractérisation et conservation », qui a réuni plus de 150 participants, au Musée de l’Homme les 7-8 décembre 2017. Le succès de cet événement a montré tout l’intérêt que suscitent ces témoins des débuts de la photographie auprès des institutions patrimoniales et des chercheurs, en France et à l’international.
Un article sera très prochainement publié dans Microchemical Journal.
Les résultats de ce projet d’un an ont été publiés dans deux abstract de congrès internationaux ; deux articles dans des journaux internationaux et un article dans les actes d’un congrès international.
L’utilisation des RX pour l’analyse des documents graphiques, et plus généralement des objets patrimoniaux, dont un certain nombre contient de la cellulose, est de plus en plus répandue. Cela nécessite une connaissance plus approfondie du comportement de ces matériaux sous faisceau de rayons X, afin de ne pas altérer irréversiblement les objets culturels analysés.
Ce projet vise à alerter, caractériser les dommages et définir les précautions à prendre.
Publications d’articles scientifiques dans des journaux internationaux à comité de lecture (2 publiées, 1 en révision). Présentation des résultats sous forme de communication orale en colloque international auprès d’un public mixte scientifiques/conservateurs/restaurateurs (ECBSM2016 et ECBSM2018).
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