Intérêts sociétaux et valorisation

Mené en deux temps, la première partie du projet, à propos de l’efficacité, sera présenté à la communauté des restauratrices textiles lors de la journée d’étude du groupe textile de la SFIIC (Section française de l’institut international de conservation).

Une seconde présentation sera prévue à l’issue du projet afin de présenter l’ensemble des résultats : à la fois efficacité et effets des produits sur les différentes fibres dans le but de mettre à disposition des outils de réflexion sur ce traitement aux professionnels.

Intérêts sociétaux et valorisation

Vu l’intérêt accru pour les estampes des gravures sur cuivre, plus particulièrement celles de l’école de Fontainebleau, et les questions attenantes sur les circonstances de leur production, les résultats de ce projet seront d’intérêt pour des chercheurs en histoire d’art et en sciences du patrimoine sur le plan international. Des dialogues ont déjà été établis avec des laboratoires d’autres institutions possédant des collections importantes de gravures sur cuivre.

Il est envisagé de présenter le projet dans une conférence internationale en 2025 et de publier la méthodologie établie, qui pourra servir de référence pour des analyses ultérieures menées sur des gravures par d’autres laboratoires scientifiques.

Intérêts sociétaux et valorisation

A terme, les avancées scientifiques du projet ArtCIM seront diffusés notamment par l’organisation d’un séminaire à destination des professionnels et d’un large public.

Du fait de la très grande diffusion de la technique des rocailles au XIXe. siècle, les avancées du projet ArtCIM pourront déboucher sur un projet de recherche au niveau européen et/ou international mais aussi sur la formation de restaurateurs spécialisés pour ce patrimoine particulier.

Intérêts sociétaux et valorisation

Des articles anglais et français publiés dans des revues consacrées à la conservation-restauration permettront de diffuser nos résultats. Des conférences, colloques ou webinaires pourront être l’occasion de communiquer et d’échanger avec d’autres professionnels du domaine de la préservation du patrimoine.

Enfin, un volet de formation (initiale ou continue) à destination des (futurs-)personnels des musées pourront être mis en place à l’avenir.

Intérêts sociétaux et valorisation

Le projet s’accompagne d’un carnet de recherche qui communique au fur et à mesure les résultats obtenus, ainsi que des contenus produits dans le cadre du projet (analyses d’histoire des médias, archive orale de témoignages, exploitation de données, etc.). La séance conclusive du séminaire aura lieu vers octobre 2024. Des publications pourraient suivre, notamment un article dans la revue du Musée national d’Art moderne.

Le projet a également l’ambition de modéliser les contours d’un futur outil de diffusion et de recherche qui mettra les données et documents à disposition des chercheurs et pourra faciliter la démarche d’autres institutions pour la communication et valorisation de corpus similaires.

Intérêts sociétaux et valorisation

La première phase, 2017-2020, consacrée à la numérisation du fonds et à la construction d’une base de données SATHMA, a été marquée en septembre 2020 par l’organisation de journées d’études, les 24 et 25 septembre 2020, à Paris, à l’École du Louvre et au musée du Louvre :

« Classique et barbare », la sculpture de l’Antiquité tardive et du haut Moyen âge (IVe-Xe siècles)

Ces journées ont fait l’objet d’une publication dans Les cahiers de l’Ecole du Louvre, n° 17 / 2021, en ligne : https://journals.openedition.org/cel/16383. Une vidéo restitue la séance du 25 septembre 2020 à l’auditorium du Louvre : https://www.louvre.fr/louvreplus/video-55-colloque-classique-et-barbare

Une  journée de lancement de la base de données SATHMA a eu lieu le 22 novembre 2024.

Intérêts sociétaux et valorisation

L’application Web du projet Richelieu est le principal vecteur de valorisation des recherches, à laquelle s’ajoutent  des séminaires et des publications. Elle consistera en une exposition virtuelle de représentations du quartier (standard IIIF), accompagnée de contenus éditorialisés. Une cartographie interactive combinant d’anciens plans et censives géo-référencés, ainsi qu’un modèle 3D permettront de restituer la spatialité des données du projet et les transformations du quartier.

Cette exposition numérique  vise à contextualiser les représentations de la capitale, en les situant dans l’espace et dans le temps. Dans une logique de science ouverte, l’application intègrera une API qui permettra d’accéder aux données brutes dans des formats interopérables et documentés.

Le site issu des travaux est accessible depuis le 12 novembre 2024 :https://quartier-richelieu.inha.fr/

Intérêts sociétaux et valorisation

Il s’agit d’une étude totalement nouvelle aux Archives nationales, où ces documents n’ont pas été étudiés (même s’ils ont été édités dans les années 1980) depuis leur reconditionnement sous plexiglas en 1949. Cette étude pourrait être l’occasion d’échanger avec ces partenaires, en France ou en Europe, évoluant dans des institutions patrimoniales conservant le même type de documents. Afin de mettre au point en commun les « bonnes pratiques », ce projet serait l’opportunité de créer un réseau de partenaires européens autour des problématiques posées par la conservation des papyrus.

Une exposition en partenariat avec le Collège de France dont le titre, Le papyrus dans tous ses États, de Cléopâtre à Clovis, a été l’occasion d’exposer des papyrus qui viennent des Archives nationales, pour parler de l’usage extra-égyptien du papyrus en mettant l’accent sur les derniers siècles de son utilisation.

Intérêts sociétaux et valorisation

Les résultats de ce projet interdisciplinaire, engageant savoirs scientifiques et traditionnels, seront valorisés à court terme par des articles, une publication, des rencontres et journées d’étude, ainsi que deux expositions au printemps 2021, l’une dédiée au Cabinet de curiosités des Rois de France à la bibliothèque municipale de Versailles et l’autre consacré au Wampum, un matériau d’une importance centrale dans la culture matérielle amérindienne et l’histoire des relations entre groupes algonquiens, iroquoiens et européens, s’est tenue au musée du quai Branly au début de l’année 2022.

À plus long terme, une monographie et des projets de valorisation de ces collections outre-océan définis avec les partenaires autochtones verront le jour.

Un troisième volet de financement a été accordé au projet CROyAN en juin 2022 par la FSP. Il permettra d’intégrer à l’étude des objets celle des territoires d’origine par voie de l’étude contextuelle des cartes historiques associées à la colonisation française en Amérique du Nord.

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